vendredi 30 août 2013

TIC-TAC

Lancement de la religion athéiste TIC-TAC “La famille élargie des Douze Sexes” Sans fétichisme, sans théisme Inspirée par l’âme de Joseph Smith TIC : Tolérance, Imagination, Compassion. TAC : Tendresse, Amitié, Complicité Fondée par le Premier Président, soussigné Dédiée à la mémoire de Joseph et Hyrum Smith. Désormais le 29 août est déclaré jour de lumière. Désormais le 27 juin est déclaré jour de deuil. Il est à déplorer profondément que les Mormons aient raté ce qui a manifestement été un virage fondamental, une occasion unique pour modifier les règles de formation des couples humains en prenant enfin pour la première fois en compte la nature profonde psychologique et physiologique des membres de notre espèce. Si la modification du régime de la polygamie s’était faite suivant une conception logique, adaptée aux douze sexes de l’espèce humaine survivante, l’Homme de Cro Magnon, alias le 3e chimpanzé ou Homo Sapiens Sapiens, ce mouvement religieux (ou cette croyance, cette foi, cette Église, cette bande de dingues, au choix) aurait connu un énorme succès auprès des croyants des autres convictions religieuses, des agnostiques et des athées. Lorsque cette Église s’est décidée de considérer les femmes comme de même valeur que les hommes, (pas des égales, car elles sont et resteront génétiquement très différentes), elle a décidé de passer à la monogamie. C’était un choix, mais un choix basé sur la psychologie et la physiologie d’une petite minorité de gens. Ce fut hélas une erreur fatale pour cette Église. Alors que s’ils étaient resté polygames, comme l’avait décrété si sagement leur fondateur Joseph Smith, et d'y ajouter la polyandrie, les saints des derniers jours eussent connu un succès d’envergure parmi un grand nombre d’adeptes des autres paradigmes. Chaque famille élargie aurait comporté une dizaine d’hommes comme noyau de démarrage, ayant chacun entre une et trois femmes en moyenne et entre zéro et deux compagnons hommes et entre un et deux compagnons mixtes (marchant à la voile et à la vapeur) et probablement un compagnon chirurgicalement transsexuel, soit de femelle à mâle, soit de mâle à femelle. Car tous les biologistes spécialisés dans la physiologie sexuelles du genre humain savent que ce genre comporte deux sexes monogames hétérosexuels, deux sexes polygames hétérosexués, deux sexes homosexuels, deux sexes aux goûts mixtes (hermaphrodites en somme), deux sexes transsexuels, en tout six paires de sexes, soit douze sexes. C’est là une caractéristique qui semble réservée à notre espèce, dont nous pouvons être fiers : enfin une caractéristique qui nous distingue des autres formes de vie à ADN. Chaque famille élargie aurait aussi comporté une dizaine de femmes au démarrage, chacune ayant un certain nombre de compagnons et de compagnes (voir plus haut chez les mâles). Chaque couple, composé d’un homme et d’une femme à une période donnée, aurait eu entre zéro et trois enfants, ce qui aurait constitué des familles élargies constituées disons de 40 à 100 personnes, des douze sexes définis plus haut. Bien entendu, les gens attirés par cette famille élargie ayant enfin reconnu le droit inaliénable à la souplesse sexuelle si longtemps cachée, imprégnée de violences et de viols, toutes ces gens seraient admis de plein droit après une visite médicale et un examen génétique assurant qu’aucune malformation génétique ne vienne altérer ce bel équilibre. Une famille élargie aurait pu choisir de loger dans un village familial entouré de prés et champs, ou dans un ensemble de grands immeubles communautaires, avec bistrots et restaurants, commerces divers et supermarchés, garderies, laverie, clinique, bureau de police et de pompiers, conseillers sexuels, financiers et comptables, salons de coiffure, trois hôpitaux, sept centres de connexion Internet, entreprises de déménagements en cas de changements de goûts sexuels (beaucoup plus fréquents qu’on ne se l’imagine !) un stade et des salles de gymnastique et de sports (escrime, tir, haras, voile, bridge, water polo et golf, un atelier et commerce informatique, une animalerie et un hôpital vétérinaire, des temples païens, cimetières et fleuristes. Et bien sûr des garages et gares d’autobus. Pas d’aéroport, car le bruit s’est enfin révélé destructif à l’espèce. Outre le fait que de nombreuses gens se seraient senties libérées des contraintes sociales et pseudo-morales traditionnelles, ce qui en aurait constitué le succès, ces communautés auraient bénéficié d’une grande économie financière. Donc avec des ressources individuelles identiques, ces gens auraient eu un niveau de vie physique et culturel nettement plus important. Les déclarations de revenus eussent été simplifiées, collectivisées. En cas de maladie, chômage, sénilité ou maladie d’Alzheimer et de Parkinson et de maladies neuromusculaires telles que la dystrophie musculaire facio-scapulo-humérale, les parents et voisins se seraient occupé de ces personnes handicapées. Recherche de parents stables, recherche d’un foyer par les enfants Les enfants nés de ces couples souvent temporaires, vont vitalement chercher des parents stables, peut-être la sécurité d'un foyer. Ils voudront savoir qui ils sont, et qui sont leurs compagnons et compagnes. Où les loger, si leurs parents génétiques ne sont plus ensemble ? La réponse peut se trouver en puisant à une source inattendue : les kibboutzim de style communiste (appelés kibboutz hé-artsi) vers le milieu du XXe siècle. Les enfants étaient élevés en groupe autonome par des éducatrices et éducateurs, et étaient libres de passer une à deux heures en fin d'après-midi chez les parents de leur choix. La notion de famille, pour ces enfants, était le collectif, le kibboutz. Réponse partielle s'il en fût, mais point de départ valable. Une aide très efficace pour résoudre ce problème essentiel, puisqu'il concerne directement l'avenir des familles élargies, est de donner un rôle prépondérant aux enfants les plus âgés, surtout les filles aînées. Comme dans les familles nombreuses, ces grandes sœurs peuvent jouer un rôle déterminant. Unions consanguines Des unions homo- ou hétérosexuelles entre générations différentes, consanguines ou semi-consanguines auraient rapidement eu lieu. Des situations où des écarts d’âge entre conjoints, oncles, tantes, neveux, nièces, demi-incestueuses, à des degrés divers de consanguinité se présenteraient rapidement. Faut-il dès lors craindre le pire ? La dégénérescence ? Il nous semble que ce risque, qui existait chez les dynasties des pharaons, et dans certaines lignées de familles royales, n’existerait absolument plus à présent. Un brassage génétique colossal a lieu à l’époque actuelle : un milliard de touristes a voyagé en 2012. Le sort de centaines de millions de gens déplacés à cause des guerres tribales et religieuse est dramatique, certes, mais contribue largement à brasser le patrimoine génétique humain. Cette richesse inouïe du patrimoine génétique a un élément supplémentaire pour nous rassurer : la découverte que les soi-disant “gènes poubelle”, les introns, sont en fait des gènes actifs, indispensables à la survie de notre espèce multiplie énormément le brassage génétique ; la notion de consanguinité à l’époque actuelle peut être reléguée au musée des millénaires passés. Rappel historique de l’Église etc… Joseph Smith, premier président de l’Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours (né le 23 décembre 1805 au 27 juin 1844, assassiné, martyr de la foule d’émeutiers) est le fondateur du mormonisme. C'est une personnalité grandiose et glorieuse de la vie spirituelle et politique des États-Unis des années 1830 et 1840. À partir de 1820, à 14 ans, il a été témoin d'une série de manifestations spirituelles, telle la Première Vision. En 1830, Joseph Smith publie le Livre de Mormon, qui est la traduction d'un récit ancien gravé sur des plaques d’or qu'un ange lui a confiées (lire ce livre en édition Kindle sur ce PC). La même année, il fonde l’Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours qui est le rétablissement de l'Église originelle de Jésus-Christ et dont il devient le premier président. De nombreux mormons le considèrent comme un prophète, mais il n’a jamais prétendu une chose pareille ! Il était président de son Église, puis devint maire et juge d’une ville américaine, et commandant d’une milice : ni prophète, ni messie, ni saint. Les nouveaux convertis, venant des États-Unis, du Canada et d'Europe, se rassemblent à Kirtland, Ohio, et ensuite au Missouri. En 1839, après avoir été chassés de lieu en lieu au Missouri, les saints des derniers jours (les mormons), fondent la ville de Nauvoo, Illinois, dont Joseph Smith, opposé à l'esclavage des Noirs, deviendra le maire et le premier juge. Il sera aussi le commandant de la Légion de Nauvoo, une unité de la milice de l'État d'Illinois. En janvier 1844, Joseph Smith annonce sa candidature à la présidence des États-Unis. Ses détracteurs, inquiets de l'accroissement de la population mormone et craignant de perdre les élections, veulent éliminer le 'fléau mormon'. Ils accusent Joseph Smith de vouloir établir une théocratie et lui reprochent de pratiquer la polygamie. Après avoir reçu des menaces de mort, Joseph Smith fait détruire la presse du Nauvoo Expositor, journal antimormon. Emprisonné à Carthage, dans l’Illinois, il y est assassiné à l'âge de 38 ans le 27 juin 1844 ainsi que son frère Hyrum par une foule d'émeutiers. Après son décès commence l’exode des pionniers mormons vers les Montagnes Rocheuses, où ils fondent la ville de Salt Lake City, en plein désert du Grand Lac Salé. Outre l’Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, une quinzaine de micro-mouvements issus du mormonisme se réclament de ses doctrines, dont le présent manifeste est un nouveau démarrage, et le signataire son premier président. Ce nouveau mouvement est essentiellement et avant tout fondé sur la réalité biologique, la physiologique et la psychologique de l’espèce humaine, du bas vers le haut, et non l’inverse, une idée venant « d’en haut », d’une révélation dans un désert, par des anges ou des saints esprits simplistes et incultes, qui ne tient absolument pas compte de la réalité de l’animal humain. Raymond Rakower, ci-avant appelé “le Premier Président” (le PéPé) http://tic-14.blogspot.fr/2013/08/tic-tac.html